Nazelie El Saherlike with instagram
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Abonnés : 296
Dollars : 325
Faceclaim : Christina Nadin
Origines : De nationalité Marocaine, Nazelie est née d’une mère philippine, américaine et d’un père irlandais, britannique.
Crédits : Fc : lionheart-fc / Sign : awonaa / Profil : Ross Ressources
Mode de jeu : Je préfère largement les sms, mais je suis capable d’enchaîner plusieurs RP. Je réponds à peu près tous les deux jours maximum quand je suis vraiment occupée.
Date de naissance : 01/04/1999
Lieu de naissance : Casablanca
Age : 25
Occupation : Propriétaire, de deux clubs sélects au sein de la Big Apple.
Quartier d'habitation : Upper East Side
Type d'habitation : Penthouse
Situation financière : $$$$
Situation sentimentale : Bien trop égoïste pour m’intéresser à autrui.
Orientations : Les hommes dans toute leur grandeur
Libre :
No warnings
No mode de jeu
No triggers
Why You ? Warning ras @Nazelie El Saher & @Jack Musk 2/05/2024
Une agréable fin d’après-midi consacrée au shopping. Franchement j’avais bien besoin de ce petit repos mental. Cela fait des mois que j’enchaîne entre le boulot et mes relations décevantes, comme celle récemment terminée avec Jack. Ce mec a été une pierre de plus rajoutée sur un édifice de déception que je me coltine depuis ma naissance. Je déambule dans les rayons de Macy’s sans véritable conviction. Tout ce que je regarde ne me convient pas réellement. Puis je décide de me diriger vers l’ascenseur pour aller au dernier étage qui correspond à la nouvelle collection de la marque. Une fois dans l’ascenseur je ne prête pas trop attention autour de moi. Dans mes pensées j’appuie à peine sur le bouton du troisième, la tête collée contre la vitre, les yeux dans le vide. C’est à son moment précis que j’entends une voix bien trop familière, au même moment où une secousse, puis le noir complet. Je le vois, sans vraiment y croire, devant moi. Lui et moi, toi et moi dans cet ascenseur seul, une proximité qui me coupe le souffle. Malgré des mois passés, je ressens encore une douleur, une amertume qui me m’énerve. Je le regarde froidement, le contourne avec la place que je possède, glissant mon corps entre lui et une des parois de cette machine qui nous retiens : moi, ma zénitude et mon intégrité.
Je me jette sur les portes, je tape sans aucun succès. S’il te plaît, je t’en prie, ouvres toi. Murmure qui se meurt dans le silence de cette machine que je détesterai toute ma vie. Je finis par m’assoir, me laissant glisser à même le sol. Très bien.. Dernier mot qui glisse sur mes cordes vocales, lassée de la situation.
Jeu 2 Mai 2024 - 22:41
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