The Empire City
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    Maxwell Pearson
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    Origines : Européenne - allemand, anglais, irlandais, français - mais également Juif ashkénaze, cette origine qui fait de moi un mensonge, une ignorance du sang qui coule dans mes veines
    Crédits : squad
    Mode de jeu : C'est à la première personne du singulier que je rédige mes rps, j'adore faire évoluer mes persos, je réponds dès que l'occasion se présente d'être sur mon pc
    Date de naissance : 23/04/1984
    Lieu de naissance : New York City (NY)
    Age : 40
    Occupation : lieutenant au sein de la police, plus précisément du côté de l'unité des renseignements, le rêve d'une vie qu'il réalise
    Quartier d'habitation : Melrose
    Type d'habitation : Appartement
    Situation financière : $$
    Situation sentimentale : Un cœur devenu impénétrable avec le temps, après une trahison, une tromperie que tout le monde vient mettre à mon compte - un mensonge que je chérie précieusement - c'est donc célibataire que je me réveille le matin, en séducteur que je conclue de nombreuses de mes soirées
    Orientations : hétérosexuel
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    Max Pearson & @C.J West

    Appartement de C.J. ; matin

    29 Aout 2024


    TW jalousie, disparition, mensonge, sexe

    « C.J. ! » Timbre de ma voix qui est en train de résonner dans les couloirs de l’immeuble où se trouve l’appartement de ma coéquipière, elle qui a pris soin de m’envoyer un message un peu plus tôt pour annoncer son retard probablement au district de Melrose. Un quartier qui n’est pas le mien quittant le Bronx pour mettre les pieds du côté de Brooklyn, me permettant à ma main d’entrer au contact de la porte du logement de C.J., cette femme que je suis venue chercher en ce début de journée. Je ne peux masquer ce sourire amusé qui est en train de marquer les traits de mon visage, face à l’image de cette amie régi par les effluves de l’alcool de la veille lors de notre sortie, ces quelques heures que nous nous sommes accordés au The Wicked Monk, ce pub présent à quelques dizaines de mètre de où nous nous trouvons. Une soirée clôturée après l’avoir laissé en présence d’un parfait inconnu venu l’aborder, ayant eu le courage d’aller au-delà de cette apparence froide qu’elle sait si bien dégager, pauvre garçon qui n’a pas dû être déçu du voyage. « Aller ouvre, tes voisins vont finir par croire que je suis fou. » Une touche d’humour qui est en train de franchir la barrière de mes lèvres, alors que mes mains sont simultanément en train de plonger dans les poches du jean que je porte sur moi, pour une attention que je porte autour de moi, posant mes iris sur cette femme poursuivant son chemin avec son chien tenu en laisse. Un léger hochement de la tête, un bonjour aussi discret soit-il, avant d’entendre ce bruit signifiant d’une porte qui est en train de s’ouvrir, accompagnant mon regard qui bien rapidement se pose sur une Calamity Jane les traits bien marqués par les folies de la veille. « Oh wow. C’est pire que ce que je pensais. » Cet amusement, je ne peux le masquer, parce qu’il est présent à l’instant où je suis en train de m’adresser à elle, avant de laisser mes iris glisser sur elle, qui est loin d’être prête pour endosser son rôle de lieutenant de police, une grande première depuis que je la connais. Et cela ne date pas du début de notre binôme dans les force de l’ordre, de ce statut de coéquipier que nous formons dans la brigade des renseignements, mais plutôt de cette époque où elle était la copine de mon grand frère, cette femme qui aurait dû intégrer comme elle le mérite la famille Pearson, avant que Sullivan ne se volatilise, sans donner le moindre signe de vie depuis dix ans. Plus de dix ans, une décennie de passer, deux douloureuses séparations, une vérité déformée, mais tous les deux nous en sommes là, toujours présent dans la vie de l’autre, ayant appris à se connaître, à devenir des amis très proches.
    Mar 10 Sep 2024 - 18:14
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    Mode de jeu : Mode de jeu ici
    Date de naissance : 05/12/1982
    Lieu de naissance : Baltimore (Maryland)
    Age : 41
    Occupation : lieutenant de police dans la brigade des renseignements au NYPD
    Quartier d'habitation : Bay Ridge
    Type d'habitation : Appartement
    Situation financière : $$
    Situation sentimentale : célibataire. Sa dernière relation sérieuse n'a pas daigné donner signe de vie depuis dix ans après s'être subitement volatilisé.
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    29 Aout 2024


    TW jalousie, disparition, mensonge, sexe

    C.J avait littéralement maudit son réveil lorsque ce dernier avait résonné à ses oreilles. La soirée de la veille lui revint par bribes. Avec Max, ils avaient été au Wicked Monk, un pub non loin de chez elle. Ils avaient coutume de ce genre de soirée, pour décompresser après le boulot. Un type l’avait abordée, alors que l’heure commençait déjà à être tardive, et Maxwell en avait profité pour s’éclipser. Maxwell. Son coéquipier. Le frère de Sullivan. Au fil du temps leur relation était devenue à la fois puissante et complexe. Chacun était un peu devenu le pilier de l’autre, une part indissociable. Leur complicité et leur proximité avaient déjà values des rumeurs notamment au NYPD sur ce qu’était réellement leur duo. Rumeurs toujours démenties avec véhémence par l’un ou par l’autre. Ils étaient amis, coéquipiers, avec un passé commun, et un drame commun, mais cela s’arrêtait là. C.J s’en persuadait elle-même mettant en avant tous les défauts agaçants de son partenaire. Et dieu sait que la liste était longue. Mais elle ne faisait que se mentir à elle-même la plupart du temps. Affirmer qu’elle n’avait jamais songé à Max d’une manière… différente eut été mentir, mais Max était le frère de Sullivan avant même d’être son coéquipier. Cela suffisait à ériger des barrières.

    Pourtant, hier soir, même si elle avait flirté avec l’inconnu du bar une bonne partie de la nuit, l’alcool aidant, elle n’avait pas désiré l’inviter chez elle, prétextant qu’elle se levait tôt le lendemain. Piètre excuse, pour ne pas avoir à admettre que c’est une autre personne qu’elle aurait voulu avoir dans son lit. Cette simple pensée était honnie. Personne qui par ailleurs s’adressait à elle à ce moment même à travers la porte de son appartement, alors qu’elle lui avait envoyé un message pour le prévenir de son retard. En plus, il insistait le bougre. Elle devait admettre que pour une raison obscure, elle avait bu plus que de coutume hier soir. Résultat, elle cohabitait avec Woody Wood Picker ce matin dans sa tête. Encore en short pyjama et débardeur, les cheveux en bataille, C.J déverrouilla sa porte et l’ouvrit, afin de laisser entrer Maxwell. « Moins fort, tu vas ameuter tout le quartier. » maugréa-t-elle, même si en réalité s’était surtout à cause de sa migraine qu’elle souhaitait qu’il fasse moins de bruit.

    Oh wow. C’est pire que ce que je pensais.

    C.J grimaça tandis qu’elle allait se resservir une tasse de café bien noir. « Et bien évite de penser alors. » grogna-t-elle, le nez dans sa tasse. « Si tu en veux, sers-toi. » Elle s’adossa au plan de travail pour lui faire face. « T’étais pas obligé de venir jusqu’ici tu sais. J’allais prendre une douche et débarquer de toute manière. » Et prendre un cachet aussi pour le mal de crâne. « A moins que tu n’aies envie de venir me frotter le dos ? » Elle lui lança un regard torve, vaguement consciente de le provoquer un peu plus que nécessaire.
    Mar 10 Sep 2024 - 18:18
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    « Et bien évite de penser alors. » Un amusement impossible à masquer, visible à travers cette lueur s’échappant de mes iris, comme à travers ce rire que je ne peux contrôler. C’est face à une Calamity Jane, sous la prise d’une gueule de bois, que je me trouve, cette coéquipière qui a consommé de l’alcool plus que de raison il y a quelques heures à peine et qui est en train de le payer, alors que mes pieds sont en train de suivre son chemin pour trouver refuge dans une cuisine pour un but bien précis, celui de venir remplir une tasse d’un arôme hautement caféine, fortement nécessaire pour qu’elle puisse tenir l’entièreté de la journée. « Si tu en veux, sers-toi. » Une proposition qui ne sort pas de l’ordinaire, ce n’est pas la première fois que je mets les pieds dans son appartement, pas au point de connaître tous les recoins de chaque pièces, mais l’emplacement des tasses, c’est dans mes compétences, raison pour laquelle mes doigts entoure l’objet que je ne tarde pas à venir remplir.

    « T’étais pas obligé de venir jusqu’ici tu sais. J’allais prendre une douche et débarquer de toute manière. » Un point qui va en sa faveur, je n’avais aucune obligation à venir jusqu’ici, pourtant je n’ai pas pu résister dès l’instant où mes yeux sont venus se poser sur l’écran de mon portable, prenant connaissance de ce début de journée chaotique. « A moins que tu n’aies envie de venir me frotter le dos ? » Une seconde de flottement, celle dont j’ai besoin alors que je romps mon intention d’apporter la tasse à mes lèvres, un geste coupé en plein élan, alors que mes iris viennent se poser sur C.J. « Tu tiendrais pas le coup West, surtout pas avec la gueule de bois que tu traînes avec toi. » Une remarque que je ne peux garder pour moi, jouant cette provocation qui nous est propre, qui ne peut pas mieux résumer ce lien qui nous unit, cette amitié que nous avons fini par créer tous les deux au cours de ces dix dernières années. Un refus que je suis en train d’apporter à demi-mot, un peu à contre coeur, ayant l’impression d’être fou de décliner une douche en présence d’une telle femme, femme que je me trouve actuellement en train de regarder, posant mes iris sur elle, sur le tissus qui couvre son corps. « Tu m’as pas dit … » Remarque que je suis en train de prononcer, en même temps que mon regard est en train de se tourner en direction du couloir, emporté par une pointe de curiosité que je ne peux contrôler. « Comment tu t’es débarrassée du lourd d’hier soir ? » Parce que la seule option qui puisse arriver à mes oreilles est celle qu’elle soit s’en débarrasser, toute autre résultat n’est pas accepté, à l’image de cette pointe de crispation que je suis en train de ressentir, face au manque d’information que j’ai entre les mains, face à l’hypothèse que mon départ du pub, il y a quelques heures, soit venu mener cet homme en direction du lit de ma coéquipière.
    Mar 10 Sep 2024 - 18:44
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    Tu tiendrais pas le coup West, surtout pas avec la gueule de bois que tu traînes avec toi.

    Il avait raison le bougre, mais C.J se serait volontiers fait arracher la langue plutôt que de l’admettre.  « Vantard. » marmonna-t-elle, tandis la vision de Maxwell avec elle sous le jet d’eau brûlant de la douche lui venait à l’esprit. Troublée, elle toussota. Décidément, les lendemains de cuite ne lui réussissaient pas. Depuis quand fantasmait elle sur son coéquipier ? Bon, si elle voulait être tout à fait honnête avec elle-même, Max était un homme séduisant, au physique ravageur. Un homme à femmes. Evidemment, elle avait des yeux pour voir. Nier qu’elle n’avait jamais pensé à lui ainsi eut été mentir. Mais cela restait son ami avant tout, et surtout, le frère de Sullivan. Sullivan, qui avait disparu depuis dix ans déjà. Jusqu’à quand continuerait elle à vivre dans l’ombre d’un fantôme ?

    Le regard de Max sur elle ne lui échappa pas. Mais déjà, il reprenait la parole, semblant s’intéresser aux suites de sa soirée. Ou plutôt, comment elle avait terminé celle-ci. Comment c’était-elle débarrassée du Don Juan de la veille ? C.J se redressa lentement, posa sa tasse, consciente de prendre délibérément son temps avant de fournir une réponse à cette question. « Qui te dis que je m’en suis débarrassée ? » Pure provocation de sa part. Elle se mordit la lèvre inférieure tout en observant son partenaire d’un air malicieux. Mais le marteau piqueur dans son crâne décida de la rappeler à l’ordre à ce moment-là, aussi se mit elle en quête d’un aspirine dans un des tiroirs de sa cuisine. « Depuis quand tu t’intéresses à mes fréquentations d’ailleurs ? » poursuivit-elle tout en gobant son cachet avec un peu d’eau.

    « J’ai prétexté que je devais me lever tôt. Il était saoul de toute manière. » finit-elle par répondre avec un haussement d’épaules, daignant ainsi mettre fin au suspense. « Content ? » Elle coula un regard en direction de Max. « Me dis pas que t’es jaloux quand même… ce serait un comble. » susurra-t-elle tout en s’approchant de lui avec une moue de défi sur son visage. « Au fait, comment va Suzanne ? à moins que ce ne fut Laura ? Carla ? Lisa ? » Max était loin d’être un saint de son côté. Son côté séducteur n’avait plus sa réputation à faire. D’une certaine manière, elle aimait le pousser dans ses retranchements, persuadée jusque lors qu’il la considérait de sa famille. Intouchable. Toujours pareil, l’ombre de Sullivan qui planait entre eux. Si elle avait su.
    Mer 11 Sep 2024 - 15:56
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    29 Aout 2024


    TW jalousie, disparition, mensonge, sexe

    « Qui te dis que je m’en suis débarrassée ? » Une réponse qui est en train de parvenir à mes oreilles, une réponse face à laquelle je ne peux garder le contrôle des traits de mon visage, de cette émotion qui est en train de traverser mon corps, capable d’y effacer toute trace du moindre sourire. Je n’arrive pas à me dire qu’elle ait pu rentrer en compagnie de ce gars, ayant cette intime conviction depuis la veille au soir, que c’est seule que C.J. allait passer la nuit, avant de subir les doux effets néfastes de l’excès d’alcool le lendemain. « T’as ramené ce gars ici ? » Des mots que je suis en train de prononcer, qui sont en train de s’échapper de mes lèvres, alors que je peux sentir mon coeur manquer un battement, qui en est douloureux, face à l’idée que Calamity Jane ait pu passer la nuit dans les bras de cet homme, à l’idée qu’il puisse même encore se trouver dans cet appartement. « Depuis quand tu t’intéresses à mes fréquentations d’ailleurs ? » Une voix qui est en train de me ramener les pieds sur terre, de me sortir de ces pensées qui sont en train de me brouiller l’esprit, de laisser ce goût amère en bouche et sentir de nombreux muscles de mon corps se contracter. Un air de surprise que je suis en train de laisser paraître, prenant le contrôle sur une situation qui est en train de m’échapper, pour un regard que je viens à nouveau poser sur ma coéquipière, encore trop sous l’emprise de sa gueule de bois. « Si tu veux j’arrête de m’intéresser à toi. » Ce n’est pas la réponse que j’aurais dû apporter, ce n’est pas de cette manière que j’aurais dû la prononcer, mais c’est ainsi qu’elle est venue franchir la barrière de mes lèvres, sans que je ne réalise qu’elle puisse avoir différents sens en fonction de ce que l’on a envie de comprendre, y cachant dans le fond une part de vérité qu’il m’est impossible d’avouer.

    « J’ai prétexté que je devais me lever tôt. Il était saoul de toute manière. Content ? » Un soulagement que je suis en train de ressentir en moi, toute tension dans mes muscles qui est en train de disparaître, alors que j’apporte ma tasse de café à mes lèvres, cachant autant que faire se peut, ce léger sourire qui est en train de se présenter au coin de mes lèvres. « Me dis pas que t’es jaloux quand même… ce serait un comble. » « Jaloux ? Vraiment ? » Un déni que je suis en train d’exprimer, dans lequel je suis actuellement, trouvant mille et une raisons à ce pique d’émotion que j’ai pu ressentir à l’idée qu’elle ait pu passer la nuit dans les bras de cet homme. Tant de raison, tant de possibilités, mais la plus évidente est celle que je me refuse de voir, alors que mes iris sont posés sur cette femme qui est en train de s’approcher de moi, cette lueur joueuse marquant ses yeux. « Au fait, comment va Suzanne ? à moins que ce ne fut Laura ? Carla ? Lisa ? » Tasse de café que je suis en train de me débarrasser, pour la poser sur le plan de travail présent à côté de nous, ne rompant pas l’échange de regard présent avec C.J., ne pouvant rompre cette connexion, cette ambiance de défi qui est en train de prendre place entre nous. « Tu tiens une liste ou je rêve ? » Impossible pour moi de masquer ce sourire qui est en train d’étirer mes lèvres, incapable de reprendre le sérieux sur la situation, beaucoup trop attiré par ce petit jeu, beaucoup trop emporté par l’envie de la pousser dans ses retranchements. « Tu peux ajouter Lara aussi. » Une remarque que je ne peux garder pour moi, une remarque qui a pour but de venir la piquer, sans que je ne sache réellement pourquoi. « Tu notes aussi celles que j’envisage ou juste celles avec qui j’ai déjà couché ? » Les minutes sont en train de défiler et force est de constater que ni l’un, ni l’autre n’a pour intention de quitter l’appartement de C.J., pour prendre notre poste de lieutenant de police, pour réellement commencer cette journée dans les forces de l’ordre. Mes iris sont toujours fièrement posé sur la femme qui se trouve devant moi, celle que je prends plaisir à pousser à bout, celle que j’ai appris à découvrir depuis de longues années, celle qui est devenue mon amie après le départ remplit de lâcheté de Sullivan.
    Sam 14 Sep 2024 - 16:49
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