Horace Pearsonconnect with linkedin
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Abonnés : 36
Dollars : 49
Faceclaim : Keanu Reeves
Origines : Anglaises, hawaïennes, portugaises, anglaises, écossaises, chinoises et néerlandaises
Crédits : Wankyuniverse sur Tumblr
Mode de jeu : Rp entre court et moyennement long
Activité: 7j sur 7
2 à 3 rp max en même temps
Activité: 7j sur 7
2 à 3 rp max en même temps
Date de naissance : 31/10/1962
Lieu de naissance : New York
Age : 61
Occupation : Politicien
Quartier d'habitation : Greenwich Village
Type d'habitation : Maison
Situation financière : $$$
Situation sentimentale : En couple
Orientations : Hétérosexuel
Libre : Ne supporte pas tout ce qui est sucré / A une passion pour les furets, mais la garde bien cachée
No warnings
No mode de jeu
No triggers
TW : Relation familial conflictuelle / Alcool
Horace avait bien commencé son début de journée. En effet, comme tout les matins, il avait embrassé sa femme sur le front en se levant, réflexe qu’il avait depuis la disparition de celui dont il n’arrivait plus à prononcer le nom. C’était étrange, car même s’il avait encore de bonnes relations avec sa femme, il n’arrivait plus à l’embrasser affectueusement sur ses lèvres. Remplaçant cette marque d’affection par un baisé sur le front.
Puis, il s’était dirigé vers son dressing, seul plaisir coupable qu’était le matérialisme chez lui. Mais seulement pour la garde de robe. Qui était constituée de nombreux costumes trois pièces. Il aimait passer son tant chez son tailleur à choisir le tissu d’un nouvel ensemble. Aujourd’hui, le politicien qu’il était n’avait pas de journée chargée. Ni d’apparition publique. De ce fait, il décida de mettre le costume qu’il affectionnait tout particulièrement. Le full black, qui lui donnait une allure de diable sorti de sa boite, avec chemise, veste, pantalon, gilet, chaussures, et cravate noire. Ainsi que ses cheveux mi-longs noirs bien plaqué en arrière avec du gel. Sauf que ce costume n’était pas bon pour sa réputation. Car il ressemblait a un requin sans âme comme cela. Pas ouf pour obtenir les voix des électeurs. Pourtant, il le portait principalement le soir lors de soirée. Mais là, comme il allait travaillait au bureau à l’abri des regards, il s’était permis un petit plaisir coupable en l’enfilant.
Une fois prêt, il grimpa dans sa berline noire avec chauffeur qui l’emmena au coffee shop le plus près pour commander un café latte. S’étant nourrit de café noir toute sa vie, à raison de presque trois cafetières entière par jour, son estomac était devenu fragile, du coup, il était passé au latte pour pouvoir continuer sa consommation, bien moindre aujourd’hui, de caféine.
Arrivé au bureau, il ne salua personne, comme à son habitude et directement après avoir jeté son gobelet de café vide, il se dirigea vers son meuble à alcool, situé dans la partie petit salon du bureau, pour se servir un whisky avec des glaçons. Un whisky de bon matin me direz-vous ? En effet, c’était un autre effet de la disparition de son fils, Sullivan. Il s’était mis à boire, autant pour oublié sa peine que pour continuer à avancer. Une fois le verre de servit, il s’assit à son bureau et débuta le travail.
Sauf que un peu avant midi, sa secrétaire entra dans son bureau.
« Qui a-t-il Cerise ? »
[Cerise] « Eh bien… Votre fille est là. »
« Ma fille ? Bien… Faites là entrer… »
Celle-ci repartie vers son propre bureau et Horace avala une lampée de whisky pour se donner du courage. Il n’aimait pas avoir affaire à ses enfants. Encore que Cam, ça allait. C’était surtout avec Maxwell qu’il avait le plus de mal. Il soupira intérieurement et quand il senti le regard de sa seule fille sur lui, il prit la parole, sans la regarder.
« Que viens-tu faire ici ? J’ai du travail, tu sais ? »
Horace avait bien commencé son début de journée. En effet, comme tout les matins, il avait embrassé sa femme sur le front en se levant, réflexe qu’il avait depuis la disparition de celui dont il n’arrivait plus à prononcer le nom. C’était étrange, car même s’il avait encore de bonnes relations avec sa femme, il n’arrivait plus à l’embrasser affectueusement sur ses lèvres. Remplaçant cette marque d’affection par un baisé sur le front.
Puis, il s’était dirigé vers son dressing, seul plaisir coupable qu’était le matérialisme chez lui. Mais seulement pour la garde de robe. Qui était constituée de nombreux costumes trois pièces. Il aimait passer son tant chez son tailleur à choisir le tissu d’un nouvel ensemble. Aujourd’hui, le politicien qu’il était n’avait pas de journée chargée. Ni d’apparition publique. De ce fait, il décida de mettre le costume qu’il affectionnait tout particulièrement. Le full black, qui lui donnait une allure de diable sorti de sa boite, avec chemise, veste, pantalon, gilet, chaussures, et cravate noire. Ainsi que ses cheveux mi-longs noirs bien plaqué en arrière avec du gel. Sauf que ce costume n’était pas bon pour sa réputation. Car il ressemblait a un requin sans âme comme cela. Pas ouf pour obtenir les voix des électeurs. Pourtant, il le portait principalement le soir lors de soirée. Mais là, comme il allait travaillait au bureau à l’abri des regards, il s’était permis un petit plaisir coupable en l’enfilant.
Une fois prêt, il grimpa dans sa berline noire avec chauffeur qui l’emmena au coffee shop le plus près pour commander un café latte. S’étant nourrit de café noir toute sa vie, à raison de presque trois cafetières entière par jour, son estomac était devenu fragile, du coup, il était passé au latte pour pouvoir continuer sa consommation, bien moindre aujourd’hui, de caféine.
Arrivé au bureau, il ne salua personne, comme à son habitude et directement après avoir jeté son gobelet de café vide, il se dirigea vers son meuble à alcool, situé dans la partie petit salon du bureau, pour se servir un whisky avec des glaçons. Un whisky de bon matin me direz-vous ? En effet, c’était un autre effet de la disparition de son fils, Sullivan. Il s’était mis à boire, autant pour oublié sa peine que pour continuer à avancer. Une fois le verre de servit, il s’assit à son bureau et débuta le travail.
Sauf que un peu avant midi, sa secrétaire entra dans son bureau.
« Qui a-t-il Cerise ? »
[Cerise] « Eh bien… Votre fille est là. »
« Ma fille ? Bien… Faites là entrer… »
Celle-ci repartie vers son propre bureau et Horace avala une lampée de whisky pour se donner du courage. Il n’aimait pas avoir affaire à ses enfants. Encore que Cam, ça allait. C’était surtout avec Maxwell qu’il avait le plus de mal. Il soupira intérieurement et quand il senti le regard de sa seule fille sur lui, il prit la parole, sans la regarder.
« Que viens-tu faire ici ? J’ai du travail, tu sais ? »
Dim 25 Aoû 2024 - 9:47
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